Les Fées et les Elfes
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 UN GOSSE ELFIQUE VA CHEZ LE BOUDDHA-CHRIST

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AuteurMessage
pierrejacques811




Nombre de messages : 1
Livre Préféré ? : Les Miserables
Date d'inscription : 24/01/2012

UN GOSSE ELFIQUE VA CHEZ LE BOUDDHA-CHRIST Empty
MessageSujet: UN GOSSE ELFIQUE VA CHEZ LE BOUDDHA-CHRIST   UN GOSSE ELFIQUE VA CHEZ LE BOUDDHA-CHRIST Icon_minitimeLun 15 Avr - 13:22

La verité irréfragable sur les gosses elfiques.



“Perinde est act si scriptum non esset”.

(L’acte est le même que si elle avait été décrétée quoiqu’elle ne l’était pas).

-La Loi de la République.


Dédié à Andrzej Pawłowski.




Comment pouvez-vous, si vous etes un enfant elfique, survivre dans un cosmos qui est différent de celui que vous avez reçu une formation pour y vivre? (par exemple, au Paradis, j’y avait continuellement une expérience astrale afin de tirer parti de la majesté du lieu: j’y regardait tout à partir du plafond! Plus, je n’avais pas l'obsession que la civilisation rationnelle a avec la causalité mécanique [ce sont les ingénieurs qui forent pour trouver pétrole et qui vont sur la Lune et qui disent: -Lutons!, pas les scientifiques]! Dedans le Paradis vous êtes heureux maintenant; et, puis, l'instant d'après, vous êtes heureux encore; donc, il y a, dans ma mémoire de celui-ci, encore un souvenir d'enfance, des ébats idylliques d’alors, et de tous les animaux [Êtres Horizontales] qui parlèrent avec moi à la manière de Nils Holgerson; de comme la faible luminosité émise par ses treillis [d’arbres {Êtres Verticales} de corail nu à liège vermillon {comme celle du chêne-liège ou l’orcanette}, avec plusieurs troncs et des grappes pendule, et lesquels piégeaient la condensation afin de la filtrer dans le sol moquetté par leurs fleurs en boule de neige andrinople] faisait un ruban bouclé de réflexion sur la crête de mon corps astral [le seul que j’y avais] lorsque je laissait tomber la rouannette et la manette, et me couchais sur ma bannette. De la même façon, tandis que, dans un hameau sur la passe d'Avatoru, il y avaient une église catholique et une église mormone fabriquées à partir de polypiers, Tlamco était une ville-temple entourée par sept vallonements qui marquaient les orbites et les diamètres des planètes, tout en formant également une carte des Pléiades [or, la ceinture de Kuiper est l'endroit où ses escouades de clones décoincèrent Pluton]. Là-bas, dans ledit Tlamco, une avalanche de nappe phréatique artificielle s'effondrait à flanc de mamelon et elle apportait à l'esprit une vision sincère de l'Atlantide dans le processus de naufrage [pensez à l'épopée de Gilgamesh: “Les censiers ne pouvaient pas se reconnaître dans l'averse verglacé de blanquise sombre... plus tard, les dieux {Êtres Illimités} se réunissaient comme des mouches autour de mon aillade sur la tourbe que je reconquise”]. Voire, il n'existe pas des véritable saison sèche aux Marquises, ainsi que vous n'avez pas à y vous soucier de cyclones; plutôt, les précipitations sont souvent de courte durée quoiqu’intenses. Enfin, si vous cherchez une expérience Robinson Crusoé, l'Hôtel Eden à Bora Bora peut être l'endroit pour vous, et... soyez heureux de savoir qu'il est tout à l'énergie solaire! Laconiquement dit: l’éther apaisant de ces parcs parsemés dans la céleste Sion c’est en contraste frappant avec leur environnement urbain bouillonnant!).

Bon, le problème pour un enfant elfique autochtone ne réside pas tant à donner un sens aux faits qu'il doit apprendre, mais de donner un sens au contexte étranger et inexprimé qui (son institutrice suppose, mais elle a des œillères, elle!) est inhérente à l'enfant: pour exemple, elle même pas ne commence son enseignement avec ces explications: “Les humains (Êtres Perpendiculaires) sont supérieurs aux autres êtres, et la Terre est une tranche de matériau flapi ondoyant dans un univers inoccupé”, tandis que, pour les elfes (Êtres Transversaux), la Terre est notre mère -littéralement!. Elle, son institutrice, parle plutôt des plans et des inquiétudes!... Le Paradis Perdu de Milton 10:582 dit: “Méfiez-vous des ruches de femmes gaies!”

Et voici qu’il était une fois un garçon elfique, Pierre, qui, en raison de la prestation d'indexation, il était changé en humain (Être Perpendiculaire) sanglotant vis-à-vis la cloison coulissante de son petit cachot (lequel attenait aux Mystères!). Dans un autre monde, subjonctif antérieur, sa mère la fée (Être Transversale) appelait son fils avec des cris qui montaient en volte-face, leurs membres carillonants clignotant en la Lumière comme le dos d'un dauphin (un poisson ou Être Circulaire) dont les écailles étaient glissantes. Et le bonobo (grand singe à organisation sociale égalitaire, peu agressif et très sociable romantiquement, qui était, dans ce cas, le subconscient de l’enfant elfique), oui, le bonobo: un quadrupède ou Être Horizontale dont la salive coulait, il suivait toujours le tireur de pousse surpeuplé dont le nom était “Clermont-Ferrant”... Pas plus! Mais son triolet, qui avait des ailes comme un ange (un Être Vertigineux), un triolet qui appartenait à l’AUM chenu, lilial, il errait autour de ses lèvres tandis les Êtres Vertigineux faisaient irruption dans une harmonie où aucune note tripotait. Cet enfant elfique n'avait qu’ounze ans, mais il n'avait pas peur de l'opacité physique. Maintenant, incapable de pioncer, il se tenait à l'arrière du tireur de pousse dont le nom était “Clermont-Ferrant" afin de regarder son passé se retrouver loin derrière lui. Uranus, leur point de départ (que toi, oh, lecteur!, connusse aussi bien que Vénus, elle était brillante et pleine, tournant, par des esquives, le sillage du navire en une large berme de couleur olive (l’olivine est une substance fabriquée de bijoux et trouvée dans les météorites provenant des astéroïdes. Uranus est de couleur pastel. Son jour et son année ont la même durée et, encore qu'elle soit beaucoup plus grande que la Terre, qui était leur point d'arrivée [plus spécifiquement, Tahiti l’était, et voici que Tahiti est la seule île de la Polynésie française où vous pouvez avoir une nuit bringue et naïve: au restaurant de Arii Vahine il y a une multitude de lumières pendantes faites de centaines de coquilles {Êtres Circulaires}! D’autre part, vous obtenez beaucoup de sommeil à Tikehau, car il n'y a rien à faire le soir là, sauf laisser les brises embaumées et la musique d'un trio polynésien vous accalmir dans un état profond de relaxation], les choses ont le même poids dans ces deux planètes, Uranus et la Terre, quoique, comme je viens de expliquer, elles diffèrent par la taille. Aussi, Miranda, la lune d’Uranus, manque un morceau dans sa rondeur: il est appelé Vérone Rupes). Tout faisait nuit noire quand l’enfant elfique s'est ainsi réveillé, mais il savait où ils étaient: dans un tireur de pousse surpeuplé dont le nom était “Clermont-Ferrant" puisque son équipage était composé de maréchaux-ferrants (un tireur de pousse n’est qu’une grande maison maladroite pour louvoyer la Profondeur Vaste à travers les trous noirs qu’autrefois ils agitèrent [la constellation du Sagittaire et un trou noir sont au centre de la Voie Lactée, et, en outre, dans Arahoro, dont la monnaie c’est e ringgit malais, il y a un trou du souffleur directement sous la route côtière: chaque lame dont la voix éructée avoie le récif, se précipite dans sa repaire et, si ladite houle est juste, il tire à travers comme un geyser, cet embrun du ressac!; et Raiatea et Tahaa sont essentiellement une île reliée avec elle-même par une buse assez étroite {connue comme l'île sacrée, Raiatea est un repaire fascinant pour les archéologues!}], et entièrement en vif-argent, et capable de mouvement sur des godillots Pataugas ronds et noirs de caoutchouc grâce à une poste de pesée dans son milieu tiède, et dont la locomotive [z, z, z, z,...] est semblable aux chiens samoyèdes [des Êtres Horizontales] quand elle tire toutes ces voitures comme des traîneaux à travers le pergélisol [ou aux chevaux {d’autres Êtres Horizontales}; et voici que, dans la cluse d'Opunohu, vous pouvez monter sur une selle tous les jours le matin et l'après-midi {sauf le lundi} le long d'un sentier de deux heures qui offre des vues fantastiques sur la chaîne des puys; et Tuamotu est le domaine des petits catamarans gérés par moteur et des voiles]). Bien que ne se distinguent pas les autres Êtres Perpendiculaires (dont, selon l’ Oracle Sibylline 2:225: “Leurs organismes humains, faits solides d'une manière céleste, sont mis en mouvement par l'haleine”) entassés, il pouvait sentir le remugle fade d'entre eux, oui! Éveillé dans son grabat, il ne voulait pas l'aube venue, parce que, bien que ses yeux ne se fixaient sur aucune trace de l'insondable qu’il scrutait, cependant il était conscient, dans l'enceinte les plus intimes de la pièce dans laquelle il était, d’un bourdonnement indistinct dont le frôlement murmuré se fit entendre, par exemple, comme une institutrice de la régie interne du tireur de pousse surpeuplé dont le nom était “Clermont-Ferrant" dont le babillage murmurant assouvit un bébé vampirique (Être Oblique) timide et craintif qui venait de se réveiller d'un cauchemar accablant qui l’avait terrifié de peur usuelle et d'intimidation aussi:

-J'ai huit mois, et voici que pendant toute ma vie vous m'avez appelé “Caïnan des Qenites”; mais mon nom est, sur le journal de bord du tireur de pousse dont le nom est “Clermont- Ferrant", “Caïn le premier franc-maçon”; et maintenant vous me dites que je suis vraiment “Caïn le constructeur de Tenochtitlan ou ville d'Enoch (le Mortel Initié)”: que suis-je, l'inventeur de cette malédiction sur la vie oisive des cueilleurs: l'agriculture?

L’institutrice, la Mort, resta-t-elle muette comme une carpe (un Être Circulaire), ni ne pipa-t-elle mot.

-Si vous refusez absolument de me livrer des énumérations, j’ai ma coquecigrue!

L’institutrice s’evertua à nier tout en bloc!:

-Vous n’etes pas froussard, vous? Vous semblez au bout des nerfs, la peur au ventre, ne sachant que trembler; cependant, prennez votre courage à deux mains! Asseyez-vous encore! Asseyez-vous encore! Rappelez-vous ce que Jean Paul II (un Être Perpendiculaire) dit de moi: “Comment est votre silence attentif! Ce sera toujours une partie de moi. Et un jour je me tiendrai tranquille et transparent comme de l'eau qui disparaît dans un lit de rivière asséché (le trou de souffleur d’Araboro?). Mon corps restera. Vos larbins/dieux (Êtres Illimités) camarades de classe vont venir et vérifier que mon cœur ne bat plus.”

-Par la règle de ouï-dire, ce que j’ai entendu ne fût-ce qu’une rumeur à ce sujet; ou, plus précisément, une telle rumeur ne m’est venue jamais à l’oreille; pourtant, j’adorais entendre, oreilles grandes ouvertes et muscles tendus, ce que celle rumeur ainsi me disait à brûle-pourpoint: en effet, je bombais le torso en l’écoutant quand ladite rumeur me trottait dans la tête!, le lança-t-il.

En ce moment, le tireur de pousse dont le nom était “Clermont-Ferrant" accosta Chez Jeanne, une île privée avec une marina (un port de plaisance) au nord d’un aéroport de conception occidentale de type chevalet de relevage; donc, l’enfant elfique dégaina son coupe-coupe du fourreau et il s’ecria:

-Et puis, dans quelle patrie un enfant elfique peut-il ressentir plus de suffisance que dans ma république douloureuse d’Avalon, debout, au sein des rassemblements des stupides mortels (Êtres Perpendiculaires) et le fracas de leur lutte entre le livre et la larme, par, provenant de Shamballa, les bras crucifiés d'un millier de dieux (Êtres Illimités) camarades de classe faits de chair physique?

Un oiseau (Être Tangentiel) lui repondit:

-Voici, donc, “Les contraintes sur les domaines caméléon (Être Diagonal) fortement couplés” du test expérimental du principe d'équivalence faible pour le neutron (Le champ scalaire caméléon [Être Diagonal] est considéré comme une cause possible de l'expansion accélérée de l'Univers. Il induit un potentiel d'interaction entre les particules et les corps massifs)! Elles sont dans votre coupe-coupe. Il vous faut le brandir, l'étaler, feinter avec lui!

Deux oeufs de couleur magenta roulèrent sur l'automne herbe lande couleur turquoise; ils frappèrent le coupe-coupe ensemble; chacun d'entre eux rebondit: l'un d'eux s'arrêta sur la lame montrant huit taches noires sur un fond cramoisi: il était une coccinelle (Être Ovoïdal)! L'autre chuta vers le pommeau et s'est immobilisé disant:

-La durée de mon délai de croissance était doublement assouplie; pas résistant, mais ductile, s’adaptant aux situations las plus diverses, souple!

L'enfant elfique s'esclaffa:

-Mais si: l'action fléchie (déposer une plainte) et l'action torve ( porter une plainte)!

La place? Fakarava: un atoll oblongue; ou sinon, l'octogone géant de l'Ohio: un tertre et l'observatoire le moins exigu de la planète, composé de segments de ligne séparés par des intervalles mesurés, et derrière chacun d'eux se dressant un raidillon juste en dehors du centre. Vous pouvez camper près, par le lac Buckeye, d'Avril à Novembre. Par conséquent, il commença à décrire son entourage, il l’ écrivit sur son téléphone cellulaire. Ainsi:

Au début de cette histoire, il y a le logos, l'icône et l'avatar d'un gars qui ne me ressemble pas du tout (le “wannabe” [aspirant] et “windbag” [moulin à paroles] Santiago le Sioux Santee de san Diego), et laquelle un copain d'un ami intime entendit; néanmoins, je vais la raconter à la première personne. Ainsi:

Êtes-vous familier avec le parfum des bougies d'Hanoucca éteintes? À cette date, je suis assis là à mon bureau bien que je suis ici seulement pour un semestre. Selon le Rig Veda, à un certain moment dans l'histoire lointaine, les ancêtres de l'homme étaient complètement synesthésiques, mais, pour autant que je suis concerné, le Floréal est un mois terrible dans un campus, mais nous allons tous avoir de moins bons jours, jusqu'à la fin des jours, jusqu'à la fin de nous (je parle ainsi car je ne sais pas ce qui va transpirer maintenant. Je ne suis même pas sûr de ce qu'il est que je veux arriver!). Et puis c'est les vacances de Noël et je suis à la maison (l'automne est la saison de séchage, de préserver, alors que l'hiver est le temps de la faim, de la torréfaction du cochon de Noël autour de la broche):

-Bienvenue!, dit ma jeune mamie la Fée.

-Sainte merde!, moi, l’Elfe, je réponds.

-Excusez-moi!, ma robotique conscience, qui est un témoin de Jéhovah, me regarde livide: ne brisez pas le cœur des jeunes grand-mères, surtout si elles sont sucrées, parce que le plus tendres les vieilles filles sont, le moins moelleux ce c’est de briser leurs cœurs!

-Sainte merde!, je réitère: au cours de la demi-saison, avides sauvages, des gens dangereux, sortent de la forêt d'asphalte: sainte merde!

J'entends d’autres voix. Je pense que la voix d’un théosophe aussi (je n’en suis pas sûr, pourtant). Il dit:

-Dites-vous que rien de mauvais, de méchant, est arrivé. Si vous dites cela assez, il va devenir vrai, parce que c'est la vérité: rien n'arrive jamais!

Ma mamie et moi, nous habitons sur les Heureux. Or, le nom de ce boulevard évoque ses hôtels particuliers dans le Nord, mais nous hantons une partie de celui-ci où tout le monde compte leurs sous (de surcroît, le Bord du Monde est au-delà de sa voie ferrée, juste sur celle colline d'Hollywood où les Indiens Cahuenga envisageaient l'océan Pacifique à leur droit quand ils étaient à vélo [d’autre part, les Winnebago {winǐpig, «vente eau», Chippewa; les «Gens de l'eau à vendre», Winǐpyägohag} sont une tribu de la famille linguistique Sioux. Dans leur culture matérielle, les Winnebago sont nettement personnes en bois, et leurs maisons et la robe sont pratiquement identiques à ceux des Sauk et des Menominee et d'autres. La même chose s'applique à leur travail de la perle, et il y a des preuves considérables pour montrer qu'ils ont eu par très longtemps une industrie de porc-épic caractéristique. Dans leurs vêtements, des mocassins, des ustensiles de cuisine, les bras et à d'autres égards, ils montrent marqué caractéristiques individuelles qui, cependant, n'ont pas été étudiés à ce jour. Et les Wendigos? Bon, des chasseurs ou des personnes perdues qui sont restées trop longtemps en état de famine {particulièrement en hiver} se tournent vers cette pratique en dernier recours et deviennent des Wendigowak {Wendigos}. Or, le Wendigo, un géant squelettique sans lèvres ni orteils et au cœur de glace, est émacié à un point extrême, et chaque fois qu'un Wendigo mange une autre personne, il grossit en proportion de ce qu'il vient d'avaler et ressent à nouveau la faim de sorte qu'il n'est jamais rassasié]). Maintenant, je saute la ville jusqu'à ce que je suis tout à fait exempt de son plan d'existence: il y a beaucoup de fétides petits trous dans l'univers si leur odeur et la compagnie ne vous dérange pas (dans mon cas, le vent remplace la puanteur de sorte qu'elle est supportable)! Donc, je parcours le chemin de briques vers le pavillon des sciences humaines, qui se cache et se profile vers moi. J'y ouvre la porte solide. J'ouvre les yeux. Je suis une salle grise (je veux dire, parfaitement grise!): elle s'agit d'un appartement de chemin de fer, huit étages plus bas, voire d'un espace ouvert bondé, le meilleur endroit pour examiner des plans en détail. Je vois la tour Eiffel: j’effectivement regarde la tour Eiffel, bon sang!, et donc je sais que je suis dans le pistachier térébinthe en forme de labyrinthe et de colonne creuse de style corinthien dit “Elonei Mamre” dont l'écran du téléviseur montre un chien à trois pattes qui est toujours rôdant dans et hors du tableau [il est le gardien de but, l'un des monstres, ou forces primitives, qui existaient avant les dieux, et que Jupiter emprisonna dans le monde souterrain, ou dans le sol]. Il dit hochant la tête vers l’appartement à la Vierge:

-Elle habite dans un appartement en bas de la onzième étage. Le sien est un cauchemar d'une basilique byzantine laquelle était grecque; mais maintenant elle est russe, et, bien sûr, elle a, tout comme son constructeur, connu des jours meilleurs en ce qui concerne la beauté: elle a son nombril percé par une pierre précieuse minuscule! Or, je ne sais pas où dans le palais, c'est qu'elle mange: peut-être au restaurant faux polynésien où les flics répandent la table avec un chiffon bleu de minuit: il ressemble à Noël pour moi!).

J’y vais et j’y trouve des leçons sur la manière de se comporter comme un léopard des neiges: les coussins y sont creusées par le corps d’un chat. Je décide de me baisser et de les toucher (donc, je pense qu'ils sont encore chauds), car mon père était un jaguar qui était égale à une douzaine de ratières et le favori à la maison (son maître avait une forte camaraderie avec lui, mais pas d'affection); et voici que le minet de la Vierge trouve la porte entrouverte et il commence un peu d'exploration: cette scène révèle un trait remarquable de la nature féline, à savoir, son raffinement inné de comportement que le domptage ne peut reproduire avec n'importe quelle délicatesse! Ensuite, il devient Vlad l'Empaleur. Comme je prends le siège dont il me fait signe de m'asseoir, je regarde à travers le seuil de la soupirail, et je vois que l’arrière-cour est un verger unique de grande qui fleurit toutes sortes de teintes panachées: ce sont les âmes de ceux qui sont morts en croyant au Christ de la Compassion Crucifié! Donc, je lui dis:

-Monsieur le Comte, voici qu’il est nuit d'automne dans La Vallée Heureuse, entre l'Aiguille Creuse et le moulin à sucre de Puunene, et que les revers de fumée de la tente en forme de cône du Christ battent doucement dans la brise tandis que je reviens sur le sentier incertain et j’y cherche les fleurs sauvages (elles sont des petites gens, et leur souffle est parfumé pendant les fruits font leur chemin en bas de la branche: ceux-ci sont encore liquides, ou quoi qu'ils soient avant leur naissance, tout comme la Place des Drapeaux [chaîne de postes vacants dans le but de prétendre que ce nom est justifié]); donc, je veux le voir, le Seigneur Maiteyya, le Christ, non pas dans une vision, mais directement, comme Bhavaviveka l’a fait!

Comme un résultat, dans un univers parallèle, ou un univers divergent, je sors du train qui vient de Kaanapali, j'arrive à la ville de Lahaina et je tourne entre le Cimetière des Marins et le Cimetière Épiscopal (pas tout à fait le Cimetière Wainee, cependant), en direction de la Salle de Lecture des Maîtres, ce qui est différent du jardin des Dieux dans l'île de Lanai. (tandis qu’en Beverly Hills beaucoup des petites mafias fonctionnent, et quelques grandes, passent en contrebande leurs morts, sur la ligne municipale, à la Ville du Siècle). L'Empaleur (bien sûr, il n'est pas complètement mort!) me fait hausser les épaules et hocher la tête. Je me retourne. Personne n'est derrière moi! Mais ensuite, j'entrevois un visage amusé: le sien (pas avec mes yeux, mais dans mon cerveau). Il saisit le sang écarlate de l'auto liquide. Il ouvre le cœur de mon être, de mon souhait! La pluie ne nous touche pas alors que nous marchons ensemble. La foule se torde autour de nous comme il fait son chemin devant moi. Le coffre de notre voiture est ouvert. Mes vêtements sont mouillés. À Maui, entre les ruines et le Monument Catholique, l'autoroute 31 a une section rugueuse, non pavée et soumise à une forte érosion. J’y marche dans l'odeur apaisante de cigarettes et d'échappement de voiture, parce que je suis venu de Los Angeles, une ville de roues dans laquelle je toujours regarde des deux côtés quand je traverse une rue et je trouve combinaisons pittoresques de bâtiments: par exemple, je vois certains de grisâtres dissemblables à travers Boyd Street en direction du centre-ville. En outre, je lève les yeux et je trouve des statues là-haut; par exemple, les deux géants (qui représentent l'architecture et de la sculpture) couchés paresseusement tout autour le nain folâtre au carrefour de la septième rue et l'avenue Figuier. Le minibus (ou Ladot, car à Los Angeles vous attendez, pas Godot, mais Ladot) à l'intersection de Santa Mónica et Le Marais est vide, ainsi que nous pouvons le prendre, mais nous optons pour trotter à la place où le Seigneur Généreux habite. D’abord, je trottine avec lui, l’Empaleur, pour un bloc vers la rue du Printemps (je pourrais faire un tour dans un panier aussi: je siffle quand l'ascenseur me prend! Ensuite, personne ne voit mon saut; mais, quand je frappe le trottoir, ça sonne... comme un coup de feu!), et, au Parc des Échos, nous pouvons voir le nom d’Hollywood en lettres cendrées épaisses en forme d’explosion des signes d'autoroute (au Parc National de Haleakala il y a une boucle d'épée d'argent, une piste de cascade, un puits sans fond et au moins deux surplombes). Droit devant la plage de Santa Mónica, la quai sombre de Malibu plonge dans la plage déserte. Au-delà, il y a le quai de la Grande Roue de Manège (le “joyeux-vont-rond”). Mais, voici que la Rivière Los Angeles, elle courses sur le béton, pas comme notre fleuve, le Rhône! On y trouve de nombreuses chaînes de wagons, chacune avec sa petit opérateur. Enfin... voici Maitteya! Quand je regarde dans ses yeux je me procurer une nouvelle compréhension de pourquoi les gens le suivent. Il me permet de le regarder aussi profondément que je veux. Il n'y a pas de barrières à l'intérieur. Il n'y a pas le moindre soupçon d'auto-défense. Je sens l'énergie qui vient de lui comme s'il était un poste émetteur cosmique: c’est tout à fait impersonnelle, mais bon, mais dangereux, comme l'hélice d'un paquebot. Son culte du Grand Mystère est silencieux, solitaire, libre de tout égoïsme. Ses plans peuvent s'adapter, mais son but est immuable. Je n'aurais jamais imaginé que ce serait sa compassion, et non l'intelligence des gens orientés vers l'utilisation de leur esprit, qui nous sauverait! Quand il arrive, ses bagages sont rares, parce qu'il n'a pas un sentiment d'insécurité, et puis il les laisse tomber ni négligemment ni avec soin. Il n’en demande pas la permission (mais, pourquoi le ferait-il?) Son visage ne ​​montre aucune espoir ni soulagement quoiqu'il me reconnaît (je le reconnais immédiatement: je n'avais jamais connu une telle vénération pour n'importe quel autre mortel quoiqu’il est un homme simple en apparence: il ne semble pas différente des Hwarangs d'accompagnement (ces chanteurs font entendre leur voix à l'unisson: leur musique est irrésistible [je reconnais parmi eux un condisciple de la classe de rhétorique, mais il ne fera pas de contact visuel avec moi. Iil frappe à l'air: il doit être en train de décrire une lutte dans laquelle il a participé, et plusieurs professeurs orientaux de langues occidentales de l'université privée féminine {leur posture suggère un alignement parfait entre le ciel et la terre} le regardent!] Dans les histoires qu'ils racontent, il y a maintes de mauvais esprits: ceux-ci hochent quand je promets aider; mais, lorsque l'esclave [celle qui s'habille dans les vêtements de tout le monde] promet aider, ils restent silencieux et ils rougissent, et l'esclave semble avoir honte à cause de cela. [quoi qu'il en soit, peu de temps après le déjeuner, elle commence son perlage. {sa culotte est mouillée, mais sa composition est intact:

-Elle n'est pas un de ceux qui pleurent, disent-ils, même si, apparemment, elle est l'un de ceux qui se pipi!, ajoutent-ils}];

mais nous ne sommes pas appris à les craindre, les mouvais esprits [nous sommes encore sourds à la langue anglaise]); Son air renfrogné est son expression permanente:ce n'est pas une réaction à ce que vous venez de faire. Il est la personne la plus détendue qui j'ai vu: il se déplace comme un chat, comme un homme entrer dans son salon en pyjama. Il n'a aucune trace d'artifices en lui, ni d’empressement émulateur ni de fatigue sans grâce. Son action semble totalement dépourvue de préméditation ou motif personnel. Dire qu'il ne semble pas se soucier de ce que les autres pensent de lui, c'est peu dire! En un sens, il semble tout savoir, d'être une longueur d'avance sur tout le monde, mais dans un autre sens, il semble tout à fait ouvert et innocent. Son langage corporel parle d’une perfection et de une paix inviolable. Il semble que même ses petits doigts contient un enseignement qui vient comme un parfum, et cela se reflète dans son auditoire comme dans un miroir. L'entendre dans une conversation avec quelqu'un, c'est comme participer à un dialogue avec lui directement. Il ne fait pas de grands efforts pour satisfaire nos esprits, mais il répond à notre incompréhension d'une manière qui nous élever à un nouveau niveau de voir les choses et d'être réceptif à ce qui est disponible. Il parle toujours comme si chaque auditeur sait autant que lui; et il se sent déçu, car ils ne savent pas! Il ne prononce jamais des harangues; il parle toujours comme s'il s'agissait d'une conversation entre frères et sœurs. Il dit:

-Vous pouvez apprendre davantage sur le limité, mais vous ne pouvez rien savoir à propos de l'illimité. Et la prise de temps peut-être une illusion dans ce domaine, et elle peut être un ennemi! Donc, s'il vous plaît, contemplez sans recourir à l'observateur, qui est l'essence de la mémoire (le penseur est créé par la pensée). Cela conduit à une liberté sans choix, sans goûts et dégoûts. En outre, le doute est un purificatoire du cerveau et le cœur. Et, bien qu’un poète mesurera le silence concomitante avec des mots, les mots ne sont pas ce qu'ils décrivent. Alors, au lieu de cela, soyez si sensible que jamais il n'y aura aucun regret ni aucune blessure en vous. Enfin, les institutions ne peuvent pas changer profondément les êtres humains!

J'ai dans mon esprit de rester le plus récalcitrant que possible, mais il existe quelque chose dans sa manière qui fasse obstacle. C’est pour cela que plutôt je dis:

י וְעוֹד מְעַט, וְאֵין רָשָׁע; וְהִתְבּוֹנַנְתָּ עַל-מְקוֹמוֹ וְאֵינֶנּוּ.

יא וַעֲנָוִים יִירְשׁוּ-אָרֶץ; וְהִתְעַנְּגוּ, עַל-רֹב שָׁלוֹם




LA FIN



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